Voici des images tirées de la nouvelle campagne publicitaire de la marque de vêtements Relish.
Cette marque milanaise ne vous dit encore peut-être rien car elle est peu connue ici.
En Italie, par contre, cette marque est à présent très connue. Et pour cause : elle crée le scandale en ce moment car elle met en scène des femmes se faisant violentées par des policiers.
Suite au tollé provoqué par cette campagne, les responsables de la marque ont tenus à s’exprimer. Pour eux, la femme Relish est « dynamique, moderne, libre et elle s’amuse avec sa féminité et sa sensualité ».
Leurs dires ne semblent pourtant pas calmer la polémique et surtout pas les habitants qui, dans certaines parties de l’Italie, dont Milan, d’où la marque est pourtant originaire, s’organisent pour faire circuler une pétition en vue du retrait de ces fameuses affiches.
A Rio également, où la campagne à été tournée, les autorités se sont déclarées outrées qu’on utilise ainsi leurs uniformes pour mettre en scène de tels actes.
Beaucoup de gens se sont dits choqués par cette banalisation de la violence infligée aux femmes sous prétexte d’une féminité trop exposée. Certains y voient même l’acte de machos dominateurs voulant réduire l’épanouissement de la femme.
Je m’interroge sur le but de cette campagne publicitaire. Pour moi, il s’agit plus d’une campagne de notoriété qu’autre chose.
A mon avis, la campagne aurait été plus intéressante si on avait inverser les rôles, et que, les femmes, grâce à leur tenue Relish, auraient une autorité, une aura qui ferait que les hommes seraient subjugués et prêts à tout pour obtenir leurs faveurs.
L’indignation des brésiliens est bien compréhensible.
Pour ma part, il aurait été de meilleur ton de supprimer tout insigne présent sur les uniformes pouvant mener à une reconnaissance évidente d’un pays. Car l’amalgame se crée vite dans les esprits.
De plus, il me semble que pour une marque originaire d’Italie, il n’y ait pas eu un réel travail sur les attentes du public. Dans un pays si chrétien, ce genre de publicité suscite le scandale.
Mais je pense que, malgré tout, cette publicité devrait, après modifications (notamment au niveau des insignes de l’uniforme et des plaquages au sol) être diffusée sur les encarts publicitaires.
Hé oui, c’est aussi ça la liberté d’expression.
Cette marque milanaise ne vous dit encore peut-être rien car elle est peu connue ici.
En Italie, par contre, cette marque est à présent très connue. Et pour cause : elle crée le scandale en ce moment car elle met en scène des femmes se faisant violentées par des policiers.
Suite au tollé provoqué par cette campagne, les responsables de la marque ont tenus à s’exprimer. Pour eux, la femme Relish est « dynamique, moderne, libre et elle s’amuse avec sa féminité et sa sensualité ».
Leurs dires ne semblent pourtant pas calmer la polémique et surtout pas les habitants qui, dans certaines parties de l’Italie, dont Milan, d’où la marque est pourtant originaire, s’organisent pour faire circuler une pétition en vue du retrait de ces fameuses affiches.
A Rio également, où la campagne à été tournée, les autorités se sont déclarées outrées qu’on utilise ainsi leurs uniformes pour mettre en scène de tels actes.
Beaucoup de gens se sont dits choqués par cette banalisation de la violence infligée aux femmes sous prétexte d’une féminité trop exposée. Certains y voient même l’acte de machos dominateurs voulant réduire l’épanouissement de la femme.
Je m’interroge sur le but de cette campagne publicitaire. Pour moi, il s’agit plus d’une campagne de notoriété qu’autre chose.
A mon avis, la campagne aurait été plus intéressante si on avait inverser les rôles, et que, les femmes, grâce à leur tenue Relish, auraient une autorité, une aura qui ferait que les hommes seraient subjugués et prêts à tout pour obtenir leurs faveurs.
L’indignation des brésiliens est bien compréhensible.
Pour ma part, il aurait été de meilleur ton de supprimer tout insigne présent sur les uniformes pouvant mener à une reconnaissance évidente d’un pays. Car l’amalgame se crée vite dans les esprits.
De plus, il me semble que pour une marque originaire d’Italie, il n’y ait pas eu un réel travail sur les attentes du public. Dans un pays si chrétien, ce genre de publicité suscite le scandale.
Mais je pense que, malgré tout, cette publicité devrait, après modifications (notamment au niveau des insignes de l’uniforme et des plaquages au sol) être diffusée sur les encarts publicitaires.
Hé oui, c’est aussi ça la liberté d’expression.
By Corinne.
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